Covid-19 - Le contrôle de la population oppriméeDès le 15 avril 2020, ceux qui suivaient les événements de la crise sanitaire savaient que cette crise était un scandale absolu. Instauration d'une terreur épidémique, réplique politique par inmposition d'une dictature totalitaire sur toutes les activités humaines, contrôle de l'opinion publique pour interdire toute contestation, propagation systématique et quotidienne d'informations fausses et imposition générale de décrets et réglements arbitraire par le pouvoir politique, dégagé de tout contrôle démocratique. Des décisions politiquement abusives et médicalement erronées, ... En France, nous avons été alertés par deux Professeurs de médecine, Raoult et Montagnier. Le premier, Raoult, dès Février 2020, nous a appris que l'Etat nous trompait en instaurant une dictature au prétexte qu'il n'existait pas de médicament. Il avait l'hydroxychloroquine. Le second, Montagnier, dès Février 2020, mais surtout à partir d'Avril 2020, nous a appris que l'Etat nous trompait en instaurant une dictature au prétexte que l'épidémie de SARS-CoV-2 proviendrait d'une zoonose, elle-même provoquée par une activité humaine dont ils prétendaient qu'elle aggressait les habitats sauvages. Montagnier nous a appris qu'au contraire, le SARS-CoV-2 était un pathogène artificiel et que l'origine naturelle agitée par les gouvernements était un mensonge. Dans la plupart des Etats occidentaux, des médecins, des biologistes, ont alertés des mêmes mensonges. Les gens se sont-ils révoltés ? Non. Pourquoi ? Parce que les gouvernements et les medias ont immédiatement déclenchée une procédure d'exclusion des scientifiques qui nous alertaient des mensonges sur le SARS-CoV-2. Les mensonges des Etats, des institutions internationales comme l'OMS, des administrations comme l'ANSM en France ou les NIH de Fauci aux USA, et de nombreux "experts sanitaires", comme le sinistre Ferguson au Royaume-Uni, tous ces pouvoirs ligués pour nous maintenir dans le mensonge de leur dictature. En réalité, le pouvoir politique savait depuis quelque temps déjà qu'il avait été joué par le prétendu "consensus unanime de la communauté scientifique". Quelle est cette "communauté scientifique" ? Une centaine de haut-fonctionnaires, appartenant essentiellement au corps de la Fonction publique de Santé, dans chaque Etat occidental et peut être 100 à 300 experts, tant publics que privés, qui se cooptaient entre eux, une dizaine de milliardaires et les 5 à 6.000 cadres qui leur servent de laquais, ont imposé aux Etats occidentaux une réaction que le pouvoir politique, partout, n'avait pas préparé, ruinant la règle fondamentale de la politique : "Gouverner, c'est prévoir". Plusieurs spécialistes comme le Pr Perronne en France ou le Pr Gupta au Royaume-Uni, se sont étonnés que les excellents plans anti-épidémiques les plus récents avaient été abandonnés sans explication et remplacés par le sinistre plan concerté international qui a placé l'humanité dans une situation catastrophique dont nous ne connaissons toujours pas toute l'étendue et toute la gravité En fait, les gouvernements occidentaux, presque partout, ont estimé que la dictature sanitaire, que les "experts sanitaires" leur avaient pratiquement imposé de prendre, entraînait un avantage inestimable contre tous les apports des institutions démocratiques et républicaines qui, d'un coup, leur paraissaient "dépassés". De fait, on ne compte plus les Parlements mis en congé, les cours de justice fermées, les débats démocratiques, notamment pour ceux des élections à venir, supprimés. Il en est résulté une large soumission d'une population aux prescriptions sanitaires arbitraires qui lui étaient imposés par la force de la police. Cette dictature, consentie par la ruse, permet de retirer aux gens le caractère de "peuple de la démocratie". Et c'est un peu comme si les politiciens du monde occidental se sont unis pour que, nulle part, il ne se trouve un espace démocrate et républicain. Emmanuel Macron a fait annoncer, il y a peu, que les élections présidentielles se dérouleraient dans la deuxième quinzaine d'Avril 2022. La probablilité qu'un confinement généralisé rendra la tenue de ces élections impossible ou leur résultat biaisé est de forte à très forte. Macron pourrait certainement rester Président ad libitum ... Transformer les citoyens en "gens" ...Comment les gens ont-ils pu admettre de renoncer à leur appartenance à leur peuple souverain, et accepter de se soumettre à l'insu de leur plein gré à la dictature, d'abord "sanitaire", puis très vite totalitaire ? La réponse réside en l'application de contraintes par le régime. Le régime est constitué par une coalition, étrangère à la démocratie et à la res publica, mais d'éléments qui en dérive : l'exécutif du pouvoir politique, en est un bon exemple. Il a été nommé largement par la démocratie et dispose donc d'une légalité indubitable. Mais, se constituant en régime, il écarte la démocratie et la res publica, et se dirige inexorablement vers une dictature. Comment la démocratie et la res publica sont-elles donc écartées ? Al'aide de contraintes sociales, politiques, culturelles et économiques. La terreur pandémiqueLa première contrainte appliquée par le régime a été la terreur pandémique. Elle s'est établie sur la dégénerescence de la culture occidentale qui a oubliée toute la rigueur de la culture occidentale des siècles passés. Autrefois, les gens savaient qu'ils mourraient et devaient lutter pour vivre. Pour l'homme occidental moderne, se tenir en bonne santé et éviter la souffrance et la mort, sont des exigences de dignité des gens qu'il a délégué d'abord au médecin et depuis quelques dizaines d'années au système sanitaire. En France, les gens sont absolument persuadés que "la Santé n'a pas de prix". Avec l'instauration de la terreur pandémique, n'importe qui se sentait en danger de mort et de souffrances intolérables et se "voyait" attaché à un respirateur artificiel dont les télévisions nous menaçaient en permanence dans des reportages quotidiens et d'une stupidité absolue. La policeLa deuxième contrainte, il ne faut pas se la cacher, fut tout simplement la puissance de la Police - en France, Police Nationale et Gendarmerie, qui se sont couvertes de honte depuis les premiers jours de la terreur épidémique en surveillant l'application des mesures sanitaires iniques. Il y a eu des exactions policières, que la Justice a exploité sans aucune vergogne pour le plus grand avantage du régime. Lorsque le Conseil d'Etat est saisis contre une quelconque mesure saniatire, l'Etat triomphe à chaque fois et avec lui le régime. Mais, la contrainte policière la plus forte a été l'application permanente d'amendes à 135 € qui ont frappé immédiatement tout contrevenant aux stupides mesures sanitaires dictées par les "médecins" et imposées avec délectation par le pouvoir politique. La presse lourdeLa troisième contrainte a été appliquée de manière uniforme partout en Occident par la presse lourde : les quotidiens et magazines alignés sur The New York Times et The Washington Post, les télévisions publiques et privées et enfin les grandes plateformes de réseaux sociaux : FaceBook, Twitter et Youtube, principalement.Cette contrainte a consisté aux actions suivantes :
le pouvoir sanitaireLa quatrième contrainte a été appliquée par le pouvoir sanitaire. Il est à la source des trois premières contraintes qu'il a à tout le moins recommandé ou qu'il a rendu nécessaire au pouvoir politique.
Le pouvoir de la caste fortunéeLes riches ont depuis toujours en Occident assumés un pouvoir social qui, en général, leur ouvrait la porte des salons de réception des politiciens. Mais, à de rares exceptions près, ils devaient passer par les politiciens pour exercer une influence. Depuis une trentaine d'années, de nouveaux riches sont apparus qui ont amassés des fortunes extravagantes en quelques dix ou vingt ans, rarement plus. Les noms sont connus, Arnaud, Bezos, Gates, Zuckerberg, Dorsay,... Or ces individus ne se bornent plus à insinuer leurs "idées" aux politiques pour protéger leurs biens. Formés souvent par l'université progressiste, ils se mêlent maintenant de soutenir les motifs progressistes et ils n'ont plus autant besoin des politiciens pour cela. Leurs méthodes utilisent plutôt :
Le régime peut-il maintenir ses contraintes ?La réponse est évidemment positive. Il y a plusieurs raisons pour cela. Parmi celles-ci, on peut remarquer :
Cependant a contrario, le maintien des contraintes sociales par le régime dépend de sa capacité à imposer le mensonge. Or, le nombre de gens, de scientifiques, de gens de la culture, des religions, qui sont conscients du mensonge du régime est plutôt en accroissement. Par ailleurs, les ressources du régime sont en train de s'épuiser parce qu'il est perclu de dettes et il ne se maintient que tant que les financiers acceptent sa dette. Mais sur la dictature sanitaire, beaucoup de gens sont capables de comprendre qu'on les a "joué" : sur le nettoyage des surfaces prétenduement contaminées et qui ne l'étaient pas, sur le lavage hystérique des mains, sur le masque facial sans aucune validité scientifique, sur l'origine du SARS-CoV-2, sur le massacre des personnes âgées alors que des médicaments efficaces existaient, ... Les gens se rendront compte que la vérité les libérera ... Les contraintes permettront-elles au régime de se maintenir perpétuellement ?Les sanitaristes en étaient parfaitement conscients au début de l'épidémie : le contrôle de la population par des contraintes n'est possible et efficcae que si les contraintes sont bien admises par la population. Ces saniatristes ont été stupéfaits que les gens acceptaient un niveau de contrainte qu'ils pensaient, eux les sanitaristes, inadmissibles par le "libéralisme" occidental et croyaient que les pires mesures qu'ils avaient imaginé devaient se limiter à la dictature chinoise. Leur "divine surprise" a été de découvrir que nous n'étions pas moins susceptibles que les chinois ... Même Macron a compris qu'il fallait faire croireà la population que le confinement et autres mesures stupides étaient essentielles à sa survie, mais qu'il fallait "relâcher" la pression sociale à un certain point ... popur éviter d'avoir une révlution, un coup d'état ou une émeute. Actuellement, la pression sociale a été largement relâchée. Mais, il est évident que dès les mois d'été passés, Macron refermera la prison sanitaire parce que c'est le moyen de do,ntrôle social que le régime a écidé de nous appliquer. La passivité, la docilité des moins de 30 ans est tout à fait remarquable et fait craindre un avenir serein pour le régime ... C'est leur révolte qu'il faut absolument susciter si nous voulons mourir dans un monde libre. |